Mercato / Juventus : un sprint anglais décoiffant pour Dybala

Le board de Tottenham a décidé de passer à l’action en ce qui concerne l’attaquant Paulo Dybala (Juventus Turin).

Selon La Gazzetta dello Sport, le destin de l’attaquant argentin ne sera « pas nécessairement loin de l’Angleterre ». Alors que l’information qui l’expédiait à Manchester United a pris du plomb dans l’aile, celle qui pourrait le mener à Tottenham a pris de l’ampleur. Tout comme Sky Italia, la Gazzetta dello Sport nous apprend que les Spurs tentent de déloger « Paulo Dybala de la Juventus dans les derniers jours du marché britannique ».

Même si ce n’est « pas chose facile », étant donné que le mercato anglais s’achèvera jeudi (demain), les Londoniens ont quand même envie de tenter leur chance. Au niveau financier, la Juve est prête à vendre « La Joya », à un autre club huppé, contre une indemnité de transfert d’environ 70 millions d’euros. Cette somme ne semble pas effrayer Tottenham qui a les moyens de ses ambitions.

Pochettino décisif pour Dybala ?

La question est simplement de savoir si les Spurs arriveront, ou non, à s’entendre avec Dybala au niveau salarial. Ses exigences avaient refroidi rapidement les décideurs de MU. Du coup, les Londoniens devront frapper « immédiatement » très fort sur ce point afin de pouvoir espérer faire mouche. En attendant, le manager de Tottenham, Mauricio Pochettino, peut « devenir » clairement « une carte fondamentale » dans ce dossier. En effet, le technicien est de nationalité argentine tout comme Paulo Dybala.

Par conséquent, il pourrait réussir à le convaincre de venir jouer chez les Spurs cette saison. En fait, les dirigeants du club anglais se demandent si le gaucher a envie, ou non, de s’exprimer en Premier League. « La Joya » n’a jamais clamé haut et fort son envie de tourner le dos à la Juventus. Par ailleurs, le nouvel entraîneur turinois, Maurizio Sarri, ne l’a pas poussé dehors… Notez que Tottenham ambitionne, en plus de Dybala, de s’offrir Philippe Coutinho (FC Barcelone). Cette fois, dans le cadre d’un prêt payant d’environ 20 millions d’euros.

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